Si la femme parfaite existait, je serais déjà avec.

Mes salutations les plus distinguées chers lecteurs.

Cela fait un moment que je suis en vacances et donc, que je ne croule plus sous le boulot. Cela dit, la feignantise fait encore des ravages, et je suis en retard. Voici un court message pour donner signe de vie.

Voilà, salut !

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Bon allez, pour la forme, je vais parler d'un truc. Et ce sera pas un manga (histoire que le petit texte à votre droite sur mon blog prenne un peu de sens).

Sorti en 1997, le Cinquième Element est un film de Luc Besson, réalisateur dont la popularité est comparable à celle de Naruto (oooh wiiiii, c'est le même genre de popularité, si vous voyez ce que je veux dire) et présenté au Festival de Cannes de ladîte année. Bien que le casting soit quasi-intégralement anglophone, notre cher réalisateur franco-français a veillé à ce qu'autour, tout le personnel et le montage financier soient bien franchouillards, afin de bénéficier de l'aide financière du CNC.

Au casting, on retrouve donc Bruce Willis en Korben Dallas, un ancien millitaire reconverti en chauffard de taxi (?) et comme à son habitude, il a le chic pour se foutre dedans jusqu'au cou; Milla Jovovich en le Cinquième Element, un forme de vie qui doit vaincre le maaaaaaal (tiens, ça me rappelle quelque chose...); et Gary Oldman, en Jean-Baptiste Emmanuel Zorg, un dingo qui compte se faire du pognon sur le malheur des gens (c'est pas bien loin de certaines professions existantes quand on y pense...). Bref, je trouve le casting très jouli, surtout Gary Oldman qui a le chic pour faire des méchants bien barrés comme je les aime. Et avec Jean-Paul Gaultier aux costumes, il a LA touche excentrique du gros barjo.

Le pitch : en Egypte en 1914, les Mondo-Shawans, des extraterrestres prônant la paix viennent sur Terre prendre les Cinq Elements, seule arme capable de vaincre le mal dont ils prédisent l'arrivée dans 300 ans. Ils disent aussi qu'ils reviendront dans 300 ans pour aider les humains. (Cela dit, ça n'aurait pas été plus simple de les laisser sur Terre et de venir quand même ? Mais bon...).

350 ans plus tard, le maaaaal pointe le bout de son nez, et Leelou, l'incarnation du Cinquième Element se retrouve poursuivie par la police pour évasion et tombe les bras de Dallas. Ce dernier l'emmène auprès du prêtre Cornelius, dont la confrérie attendait sa venue depuis trois siècles.

Seulement, ils devront se frotter à Zorg, un fabricant d'arme corrompu, et les mercenaires Mangalores, qui veulent s'approprier les éléments.

Le Cinquième Element est un film flamboyant, plein de personnages truculents, qui n'a d'autre but que de vous divertir. Ceux qui me connaissent ne serait-ce qu'un peu sache que ce genre de fiction entre dans mes appréciations. Certes, le scénario est peu étoffé, mais l'univers est là, et on ne décroche a priori pas d'un bout à l'autre.

Bref, je vous recommande ce film chaudement.

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Ouais, c'est court comme billet, mais bon, j'ai plein de choses à rédiger sur le net ><

Donc prochaine étape, l'arc Chute de Zhao Gongming sur mon dossier Hôshin, et après cela, je pense faire un billet sur Yotsuba. C'est apparement de rigueur en ce moment sur quelques blogs amis, et comme je suis un connard de mouton de panurge...

Comments

[Bobo]

Je me rappelle avoir bien aimé, mais ça fait vraiment longtemps que je ne l'ai pas vu...

Sinon, content de voir que la propagande "Yotsuba" prend de l'ampleur... =)

[Raimaru]

Merci, je vais essayer de faire ça rapidement ^_^

[Meloku]

J'adore Le cinquième élément et ce contraste SF kitch / bien réalisé.

Et puis Jean-Claude Mézières et Jean Giraud, les références françaises d'ordre mondial de la BD de SF, ont travaillé sur le film *____*

Vivement ton prochain article sur Hoshin pour que je trouve le courage de continuer la série.